Chloroquine Officinalis
Chloroquine : une molécule d’origine naturelle que l’on doit aux arbres

Flore et Plantes médicinales
Le Jardin des 1001 saveurs
Source : urlaub-auf-reunion
Franceinfo vous explique six chiffres pour comprendre ce phénomène de déforestation au Brésil – et ses conséquences.
En cinquante ans, près d’un cinquième de la forêt amazonienne – 17% – a disparu, d’après le WWF. Des zones gigantesques ont été défrichées, notamment pour permettre le développement de l’élevage de bétail dans l’Amazonie brésilienne.
Et ce phénomène s’accentue. Au mois de juillet, 2 254 km2 de zones forestières ont été déboisées, contre moins de 600 km2 en juillet 2018, selon l’Institut national de recherche spatiale (INPE) brésilien. La déforestation a ainsi presque quadruplé en un an, augmentant de 278%.
Au total, l’Amazonie a perdu 7 536 km2 de forêt en un an, entre août 2017 et juillet 2018, a récemment relevé l’INPE. C’est cinq fois la taille de Sao Paulo (Brésil), l’une des villes les plus peuplées au monde. Et l’équivalent de près d’un million de terrains de football.
En proie à une déforestation effrénée, la forêt amazonienne se réduit et perd peu à peu son rôle de « puits de carbone ». Chaque année, les opérations de déforestation émettent 340 millions de tonnes de carbone en pleine forêt amazonienne, précise le WWF. De quoi affaiblir le pouvoir de « réservoir » de CO2 de l’écosystème. Sans compter qu’avec la sécheresse et l’élévation des températures, le taux de mortalité des arbres augmente.
Entre les années 1990 et 2015, les capacités de stockage du CO2 de la forêt ont ainsi été divisées par deux, relève une étude publiée dans la revue Nature. L’Amazonie absorbe encore 14% du CO2 mondial, mais pour combien de temps ?
Source : FranceTVinfo
Personne ne peut passer à côté du durian, ce fruit ovoïde et graphique, bardé d’épines, dont il existe environ 30 espèces différentes, dont 9 comestibles, et qui peut peser jusqu’à 5 kilos. Ce fruit roi, que l’on trouve sur les marchés de Singapour, en Thaïlande, en Indonésie, en Chine ou en Malaisie, est tellement malodorant qu’il est séparé des autres produits et même interdit dans les lieux publics, transports en commun, hôtels, avions et autres taxis.
Pourtant, selon ses amateurs, son goût vaudrait tout l’or du monde et surtout tous les efforts du monde pour ignorer cette pestilence. Un goût de « noisettes, d’amandes, de fromage et de cognac », une texture « à la fois crémeuse et grasse » décrivent sur leurs blogs de voyages les épi-curieux qui l’ont gouté.
La plus grande diversité de durians se rencontre sur l’île de Bornéo avec sur les marchés locaux. Elles sont présentes un peu partout au Brunei et contribuent à une riche diversité génétique auprès d’autres espèces. Aux Philippines, la production est concentrée dans la région de Davao, le festival de Kadayawan consacré au durian a lieu chaque année à Davao.
La production mondiale de durian s’élevait à 1,4 million de tonnes en 1999. Il est cultivé principalement dans 3 pays : Thailande, Indonésie et Malaisie. Si le durian n’est pas natif de Thaïlande, ce pays est le principal producteur du fruit. L’Indonésie et la Malaisie y suivent respectivement.
La production du durian existe aussi dans d’autres pays et régions mais en quantité très restreinte : Cambodge, Laos, Viêt Nam, Birmanie, Inde, Sri Lanka, Floride, Hawaii, Nouvelle-Guinée occidentale, Polynésie, Madagascar, Chine et Australie.
Ce fruit arrivé à maturité, c’est-à-dire quand son enveloppe commence à s’ouvrir, se consomme généralement frais, mais exhale une forte odeur alliacée, qui augmente avec le temps et devient même putride quand le fruit se gâte. Elle est moins forte immédiatement après la récolte, et est moins accentuée chez certaines variétés améliorées. On s’en sert aussi pour préparer des glaces, des confiseries ou des pâtisseries (macarons, mille-feuilles, etc.).
Les graines du durian sont également comestibles une fois grillées. Pilées, elles servent à préparer des gâteaux.
Avec ses fleurs aux formes fantastiques, l’orchidée nous fascine et les variétés d’intérieur ne sont pas compliquées à cultiver.
Histoire, variétés, plantation et entretien : devenez incollable sur les orchidées !
Les Orchidées forment une grande famille de plantes monocotylédones.
C’est une des familles les plus diversifiées, comptant plus de 25 000 espèces, réparties en 850 genres.
Ce sont des plantes herbacées, de type divers, autotrophes ou mycohétérotrophes, à feuilles réduites, à écailles, ou développées, terrestres ou épiphytes, pérennes, rhizomateuses ou tubéreuses, des régions tempérées à tropicales. La symbiose, qu’elle soit de type autotrophique, saprophytique, voire parasitique, se fait avec un champignon microscopique qui permet à la plante de pallier l’absence de toute réserve dans ses graines ainsi que l’absence de radicelles au niveau de ses racines. C’est une famille largement répandue ; la majorité des espèces se rencontrent dans les régions tropicales.
Peu d’orchidées sont utilisées dans l’alimentation. On relève toutefois le genre Vanilla, dont la gousse est la vanille. La vanille est cultivée dans les régions tropicales, et son besoin en ombre rend possible son exploitation en agroforesterie.
Le Faham (Jumellea fragrans) entre dans la confection du rhum arrangé, lui procurant son goût caramélisé. La cueillette se déroule dans la nature, sur les sites de production, et engendre une raréfaction progressive de la plante.
Les orchidées des régions tempérées et méditerranéennes, aux tubercules très suggestifs, ont inspiré aux adeptes de la théorie des signatures un éventuel aphrodisiaque: on sait aujourd’hui qu’il n’en est rien. Mais dans les régions du Maghreb, ces orchidées sont encore déterrées pour préparer le très populaire salep. En Turquie notamment, 36 espèces parmi 10 genres sont en conséquence menacées d’extinction, et on estime à 42 le nombre d’espèces ayant déjà disparu au cours de la dernière décennie.
Sources :
Wikipédia
Iwallpapers Pierres Zen
Site Waide Orchidée Zen
4ever Orquideas
Les lémuriens forment un clade de primates strepsirrhiniens endémiques de l’île de Madagascar. Leur nom dérive des lémures en raison de leurs vocalisations rappelant les bruits attribués aux fantômes, de leurs grands yeux réfléchissant la lumière et des habitudes nocturnes de certaines espèces. Bien que les lémuriens soient souvent confondus avec les premiers primates, ils ne sont pas les ancêtres des primates anthropoïdes (singes, grands singes et humains) avec lesquels ils partagent des caractères morphologiques et comportementaux trouvés chez les primates primitifs.
Les lémuriens sont arrivés sur Madagascar depuis le continent africain, il y a de cela de 62 à 65 millions d’années, en traversant la mer sur des tapis de végétation à une époque où les courants océaniques étaient favorables à une dispersion vers l’île. Depuis cette époque, les lémuriens ont évolué pour faire face à un environnement extrêmement saisonnier et leur capacité d’adaptation leur a donné une diversité qui rivalise avec celle de tous les autres groupes de primates. Il y a près de 2 000 ans, peu après l’arrivée des humains à Madagascar, il y avait encore sur l’île des lémuriens de la taille d’un gorille mâle.
Ces animaux, par ailleurs proches des Tarsiers (Tarsiiformes), ressemblent aux Singes (Simiiformes) par la présence de mains (avec des pouces opposables) aux
quatre membres, caractère d’adaptation à des habitudes arboricoles. Par tout le reste de leur organisation, les Lémuriens diffèrent beaucoup des Singes pour se rapprocher des Ongulés. Comme ces derniers et comme les Carnivores, les Lémuriens ont un placenta « en forme de cloche » dépourvu de caduque, avec un grand allantoïde au lieu du placenta discoïde; semblable à celui de l’Humain, que présentent tous les Singes : ce placenta est diffus, c.-à-d. formé de villosités séparées, implantées sur toute la surface de l’oeuf, sauf le pôle antérieur.
L’alimentation des lémuriens est très variable et montre un haut degré de plasticité bien que la tendance générale soit que les plus petites espèces consomment surtout des fruits et des insectes (omnivore) et que les plus grandes soient plutôt herbivores. Comme tous les primates, les lémuriens affamés peuvent manger tout ce qui est comestible que ce soit ou non l’un de leurs aliments préférés. Par exemple, le Lémur catta se nourrit d’insectes et de petits vertébrés en cas de besoin et, par conséquent, il est généralement considéré comme un omnivore opportuniste. Le Microcèbe de Coquerel (Mirza coquereli) est surtout frugivore mais il peut consommer des sécrétions d’insectes pendant la saison sèche.
Sources :
Wikipédia Lémuriformes
Rtl.be Un lémurien s’invite dans un jardin à Ans: « Il a dormi avec les enfants »
Les coraux sont des animaux de l’embranchement des Cnidaires, caractérisés par un squelette calcaire. Les coraux vivent généralement en colonies d’individus qui sont des « superorganismes ». Les individus sont nommés « polypes ». Chaque polype sécrète son propre exosquelette (près de la base et tout au long de sa vie) ; selon les espèces, cet exosquelette est soit dur, soit mou et protéinique. Chaque colonie forme ainsi un « squelette colonial » plus important et durable, dont la forme est propre à l’espèce, à partir de minéraux prélevés dans l’océan. Les coraux durs, « constructeurs de récifs », ont formé par accumulation de ces squelettes durs des récifs coralliens dont certains sont devenus les plus grandes structures complexes connues créées par des organismes vivants (les grandes barrières de corail).
De nombreux coraux vivent en symbiose avec des végétaux unicellulaires : les zooxanthelles dans les mers chaudes, ou d’autres espèces de phytoplancton dans les mers froides. Un large éventail de bactéries fixatrices d’azote, y compris des décomposeurs de chitine vivent dans le mucus produit par les polypes et forment une part importante de la nutrition des polypes. Le type d’association entre le corail et sa flore varie selon l’espèce. Différentes populations bactériennes sont associées aux muqueuses, au squelette et aux tissus des coraux.
Depuis quelques décennies, les populations de corail se dégradent, probablement en raison du changement climatique, de la pollution et de la surpêche qui pourraient avoir développé la susceptibilité des coraux aux maladies. Plus de vingt maladies des coraux différentes ont été récemment décrites, seule une poignée d’entre elles sont comprises et ont des agents pathogènes isolés et caractérisés.
Voici l’image d’un récif corallien somptueux :
Et celle d’un récif corallien blanchit par la pollution et le changement climatique :
Les colonies de coraux ont la propriété de contribuer à fortement construire leur environnement et leur habitat. Ils constituent eux-mêmes un habitat pour de très nombreuses autres espèces, et représentent donc des espèces fondatrices de premier plan.
Les quatre plus grands récifs coralliens du monde sont situés en Australie, en Nouvelle-Calédonie, au Belize et en Floride. Cependant, celui qui devrait être le plus ancien est celui de la baie de Kimbe en Papouasie-Nouvelle-Guinée : il concentre 60 % de la biodiversité des espèces de coraux. Des pays comme l’Indonésie, les Philippines, les Maldives ou la Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent également des parts importantes des coraux mondiaux. La France, par ses régions d’outre-mer (Nouvelle-Calédonie, Polynésie Française, Mayotte…), concentre à elle seule pas moins de 10 % des coraux mondiaux, ce qui en fait le 4e pays corallien au monde.
Voici le reportage d’un YouTuber démontrant la problématique qu’engendre le blanchissement dans coraux dans l’océan :
Connue comme stimulant du système nerveux, la vanille était utilisée sous forme d’huile essentielle, de teinture, ou d’infusion contre l’hystérie, la dépression ou la mélancolie. Elle était aussi recommandée pour favoriser les efforts musculaires ou contre les rhumatismes.
La vanille vit dans les sous-bois des forêts tropicales humides. Elle était déjà reproduite par bouturage bien avant l’arrivée des conquistadores espagnols au Mexique. Aussi la quasi-totalité des pieds connus, même ceux qui poussent spontanément en forêt, sont des clones provenant d’exploitations agricoles actuelles ou de cultures abandonnées.
L’aire naturelle originelle de la vanille est donc assez mal connue. Elle s’étendrait dans une région couvrant pour parties le sud du Mexique, le Guatemala, le Belize et le Honduras, mais elle serait devenue rarissime à l’état réellement sauvage. Une trentaine de pieds seulement, par ailleurs très dispersés, sont actuellement identifiés comme tels.
La vanille est surtout connue comme plante à épice cultivée. C’est l’histoire de cette épice qui a contribué à diffuser la culture et à installer la plante dans la plupart des régions tropicales humides du monde.
Elle développe un parfum complexe formé de plusieurs centaines de composés aromatiques différents. Parmi ceux-ci, c’est cependant la molécule de vanilline qui forme et caractérise de manière dominante l’arôme de la vanille.
Le profil aromatique dépend des conditions de culture et de transformation mais aussi des cultivars utilisés. Le vanillon et la vanille de Tahiti ont des teneurs en vanilline relativement faibles. Cependant, le vanillon dégage une forte odeur de coumarine. Quant à la vanille de Tahiti, elle est plus riche en divers composés par rapport à la vanille planifolia qui est elle, plus riche en vanilline seulement. La préférence dans le bouquet aromatique dépendra du consommateur.
Sources :
Wikipédia
Le Jardin Ethnobotanique
Parfois appelé “ plaquemine ”, est originaire de Chine. lLe kaki a besoin de chaleur pour fructifier et a été acclimaté dans tout le bassin méditerranéen.
Sa saveur très douce et bien sucrée est due à une teneur élevée en glucides (plus de 15 g aux 100 g), et à son faible taux d’acides organiques naturels (moins de 300 mg aux 100 g). Ses glucides sont constitués en majorité (et à parts sensiblement égales) par du fructose et du glucose. Comme la plupart des autres fruits frais, il renferme peu de protéines (0,5 à 1 g aux 100 g), et de lipides (0,2 à 0,4 g). Le kaki fournit environ 70 kcalories 100 g, ce qui le situe parmi les fruits les plus énergétiques (entre les cerises et le raisin).
Ses fibres représentent 2,5 g à 3,5 g aux 100 g, et sont constituées essentiellement par des celluloses et des hémicelluloses (concentrées dans la peau). Elles comprennent aussi un peu de pectine (qui donne du « moelleux » à la pulpe). Certaines variétés sont chargées en tannins, ce qui confère au fruit une astringence marquée. Au fur et à mesure de la maturation, les tannins diminuent, tandis que les sucres et les pectines augmentent. C’est pourquoi le kaki est consommé très mûr, voire un peu blet (mais certaines variétés pauvres en tannins peuvent être dégustées à un stade normal de maturité).
La couleur orangée du kaki est due à des pigments colorés abondants : caroténoïdes, lycopène et xanthines. On trouve ainsi en moyenne 1,4 mg de caroténoïdes (ou provitamine A) dans 100 g de kaki, mais dans certaines variétés, ce taux peut atteindre 3 mg aux 100 g. C’est, avec la mangue, le melon et l’abricot, l’un des fruits les plus riches en provitamine A. Sa teneur en vitamine C est très variable, et évolue selon le degré de maturation et de blettissement du fruit : elle passe de 60 mg à 7 mg/ 100 g en moyenne dans le kaki très mûr. Il est considéré comme une bonne source de vitamine C et de provitamine A.
Le kaki est un fruit plutôt bien pourvu en minéraux. Le potassium domine, avec une teneur de l’ordre de 170 mg. On y trouve aussi du calcium (21 mg), du phosphore (20 mg), et de petites quantités de magnésium et de sodium, ainsi que des oligo-éléments variés (fer, cuivre, zinc, manganèse…).
La richesse du kaki en composés antioxydants : caroténoïdes, vitamine C, tannins, flavonoïdes (proanthocyanidines, acide gallique, catéchines…) lui confère des vertus santé intéressantes, notamment contre les maladies coronariennes. Sa consommation permet notamment de diminuer les taux de cholestérol et de triglycérides. Ses fibres aident aussi à améliorer le métabolisme des lipides. Le kaki pourrait donc aider à prévenir l’athérosclérose et ses complications d’après plusieurs études.
Ses feuilles sont utilisées dans plusieurs pays asiatiques contre l’hypertension. Une utilisation validée par des essais cliniques montrant que les extraits de feuilles de kaki ont des effets sur l’enzyme de conversion de l’angiotensine (qui joue un rôle important dans le contrôle de la tension artérielle). Ils auraient aussi des effets anticoagulants.
Lorsque les défenses antioxydantes du corps sont dépassées, ce qui est ouvent le cas dans un environnement pollué, en cas de tabagisme, d’apports insuffisants en antioxydants, ou d’inflammation chronique, on parle de stress oxydant. Le stress oxydant ouvre la voie à des dommages cellulaires, notamment au niveau de l’ADN. Et en conséquence à des maladies comme le cancer, certaines maladies dégénératives et au vieillissement prématuré de la peau. Le kaki a montré qu’il permettait de neutraliser les espèces réactives de l’oxygène qui sont responsables de l’altération de l’ADN, grâce à ses caroténoïdes et ses flavonoïdes. In vitro, des extraits de feuilles de kaki ont empêché des cellules cancéreuses du côlon ou du sang de proliférer et ont favorisé leur mort par apoptose.
Les feuilles du kaki semblent intéressantes en prévention et en traitement du diabète grâce à leur richesse en antioxydants. Ces derniers permettraient d’inhiber une enzyme du pancréas, l’alpha-amylase, un peu à la manière de certains médicaments antidiabète. Les feuilles de kaki pourraient aussi agir au niveau du transport du glucose, et donc être utilisées pour augmenter la sensibilité à l’insuline. Par ailleurs les antioxydants du kaki aideraient aussi à lutter contre les complications du diabète.
Hertog MG, Kromhout D, Aravanis C, Blackburn H, Buzina R, Fidanza F, et al. Flavonoid intake and long-term risk of coronary heart disease and cancer in the seven countries study. Arch Intern Med. 1995;155:381–386.
Masood Sadiq Butt, M. Tauseef Sultan, Mahwish Aziz, Ambreen Naz, Waqas Ahmed, Naresh Kumar, and Muhammad Imran : Persimmon (Diospyros kaki) fruit: hidden phytochemicals and health claims. EXCLI J. 2015; 14: 542–561.
Source :
La nutrition
Le Matcha vous connaissez ?
C’est un thé rare, dont la fabrication au Japon serait restée la même depuis 900 ans.
Si vous avez la chance d’en boire un « vrai » (en Europe c’est difficile) vous découvrirez la sensualité inouïe, dans votre bouche, de ce liquide couleur émeraude.
Son goût vous donnera envie d’une deuxième tasse puis d’une troisième.
Dès les premières gorgées vous ressentirez une douce et chaude énergie se diffuser dans votre corps.
Et au bout de quelques mois vous engrangerez des bienfaits « bien-être » qu’aucun autre thé ne procure.
Les « anciens » du Japon, qui le connaissent depuis l’ère impériale, disent qu’il prolonge la vie, éloigne la maladie, notamment les troubles digestifs ou certaines maladies de peau.
Quand on lit les études scientifiques, on se rend compte que c’est… sans doute vrai !
Entre autres vertus santé les chercheurs disent que :
– il permettrait de réduire le stress ;
– il améliorerait l’humeur et les performances intellectuelles ;
– il favoriserait l’oxydation des graisses et des lipides ;
– il inhiberait la propagation des cellules cancéreuses.
Pas étonnant que les centenaires de l’île d’Okinawa disent ceci :
« le thé vert est le prince des thés, et le Matcha en est le roi ! »
Comme vous le savez déjà, le thé vert :
– augmenterait la sensibilité à l’insuline (ce qui aiderait à limiter le développement du diabète de type 2) ;
– est considéré comme l’un des plus puissants antioxydants au monde (favorisant la lutte contre le vieillissement) ;
– est utilisé efficacement comme anti-inflammatoire ;
– favoriserait la diminution de la tension artérielle ;
– renforcerait la santé des os et contribuerait à prévenir les fractures chez les personnes âgées ;
– aurait un puissant effet désacidifiant, détoxiquant et détoxifiant naturel : il augmenterait le pH du corps et accélèrerait l’élimination des polluants ;
– en cas de cancer, il aurait un rôle permettant de réduire l’arrivée de l’oxygène vers les tumeurs ;
– aiderait à renforcer le système immunitaire.
Les bienfaits que vous avez en buvant du Matcha, c’est les mêmes qu’avec le thé vert, mais surmultipliés.
Pourquoi ? Parce que le Matcha diffuse, dans votre tasse, 137 fois plus d’EGCG qu’un thé vert
Les EGCG, ce sont des antioxydants qui empêchent vos cellules de vieillir. Le thé vert en contient déjà bien plus que les autres thés (thé noir, thé blanc, thé bleu) parce qu’il n’est pas fermenté[7] (la fermentation divise par 10 le taux d’EGCG).
Sources complémentaires :
Wikipedia : le Thé matcha est une poudre très fine de thé vert moulu
Journal of Agricultural and Food Chemistry