La chute des anges rebellés
Sculpture sur ivoire
« La chute des anges rebellés »
Naples, 18 ème siècle. La sculpture est faite de tout un morceau d’ivoire sans un seul ancrage.
Auteur inconnu a passé toute sa vie à le faire.
« La chute des anges rebellés »
Naples, 18 ème siècle. La sculpture est faite de tout un morceau d’ivoire sans un seul ancrage.
Auteur inconnu a passé toute sa vie à le faire.
Lenz était un membre fondateur de la Sécession de Vienne; Durant sa période la plus importante de sa carrière, il était un symboliste, mais plus tard, son travail devint de plus en plus naturaliste.
Détails
Le mausolée de l’empereur Qin se trouve près de la ville de Xi’an, dans le Shaanxi, en Chine.
Cet ensemble archéologique, qui date de 210 av. J.-C., s’étend sur environ 56 km².
Il comprend :
Les fosses contiennent quelque 8 000 statues de soldats et chevaux en terre cuite.
Selon l’historien Sima Qian (145-90 av. J.-C.), la construction du mausolée, qui commença en 246 av. J.-C., impliqua plus de 700 000 ouvriers.
L’armée de terre cuite n’est qu’un des éléments d’une immense nécropole, bâtie pour la gloire de Qin Shi Huang. Grâce à des sondages et à des examens réalisés avec des mesures de télédétections, la taille de ladite nécropole est estimée à 98 km2.
Elle a été conçue pour être une représentation à échelle réduite du palais impérial et couvre une vaste zone située autour du tumulus où repose le premier empereur. Ce tumulus en terre est situé au pied du mont Li et a été construit en forme de pyramide. Il est entouré de deux murs très épais construits en pisé, avec des passerelles servant d’entrée. La nécropole est composée de plusieurs bureaux, salles, écuries et autres structures normalement présentes dans un palais impérial chinois.
Les soldats (officiers, fantassins, fonctionnaires, arbalétriers) mesurent entre 1,80 m et 2 m. Ils portent tous une arme — épée, arc ou arbalète — en bronze recouvert d’une fine couche de chrome.
Les personnages diffèrent les uns des autres par les traits, la taille, la coiffe, l’uniforme. À l’origine, les soldats étaient peints de couleurs vives, qui ont pour la plupart disparu. Les restaurateurs sont maintenant en mesure de stabiliser certains pigments.
Une couche de laque brun foncé recouvrait chacun des personnages. Sur ce fond, on appliquait deux ou trois couches de laque et de pigments colorés. Le rouge servait à peindre les lacets qui attachaient les plaques de l’armure, ou bien le ruban de la coiffe. Le vert et le bleu étaient utilisés pour les pantalons. Le rose, le jaune et le violet foncé se retrouvent sur les tuniques.
La Grande Muraille ou muraille de Chine est la plus longue construction humaine au monde : elle parcourt environ 6 700 kilomètres, de la frontière entre la Chine et la Corée, jusqu’au désert de Gobi, à l’ouest du pays. En raison de sa longueur, elle est surnommée en chinois « La longue muraille de dix mille li ». Elle a d’abord été construite avec de la terre, des pierres, du bois et des tuiles, puis plus tard avec des briques. Sa largeur est entre 5 et 7 mètres en moyenne et sa hauteur est entre 5 et 17 mètres. Elle possède des tours de guet et des fortifications sur toute sa longueur. Les déplacements des soldats se faisaient à l’aide de chevaux.
Elle a été construite du IIIe siècle av. J.-C. au XVIIe siècle après JC . On trouve les vestiges de barrières successives réparties sur un espace d’environ 1 000 km de large du nord au sud, entre l’actuelle frontière russe et la grande plaine de la Chine du Nord. Si l’on comptabilise toutes ces barrières on obtient environ 50 000 km de long.
Pendant des siècles la « muraille » fut en fait des levées de terre parfois renforcées par une armature interne en branches. La brique et la pierre ne sont utilisées qu’à partir du XVIe siècle.
La première muraille fut construite pendant la période de la dynastie Qin, qui gouvernait le pays, au IIIe siècle av. J.-C. pour éviter les conflits avec les tribus voisines. Elle faisait alors plus de 5 700 km. Puis elle fut prolongée sous la dynastie Han sous le règne de l’empereur Wudi, afin de repousser les Xiongnu en Mongolie extérieure. Elle protégeait ainsi le trajet de la route de la soie. Les envahisseurs mongols qui fondèrent au XIIIe siècle la dynastie Yuan la contournèrent par l’ouest. C’est sous la dynastie Ming (entre les XIV° et XVIIe siècles) que la muraille prend son allure actuelle.
Sources :
Wikipédia
Vikidia
Le manga est une bande dessinée japonaise en noir et blanc et aux codes graphiques particuliers. Il se présente sous la forme d’un roman ( contrairement à nos bandes dessinées occidentales ) et se lit de droite à gauche ! ( Sens de lecture japonais ). Une histoire se déroule la plupart du temps sur plusieurs volumes ( en moyenne une dizaine de tomes. )
Au japon, tout le monde lit des mangas ! Ils font partie intégrante de la culture japonaise et touchent aussi bien les enfants, les ados que les adultes et même les personnes âgées… Les thèmes abordés sont donc très variés (Policier, histoire d’amour, fantastique, sport, cuisine…) et il existe différents genres de manga dont les plus connus sont le Shônen (manga d’action ou d’aventure destiné aux garçons) et le Shôjo (Histoires romantiques pour les filles). Bref, il y en a pour tous les goûts !
L’auteur d’un manga s’appelle un mangaka. Il peut être soit scénariste soit dessinateur, souvent il a les deux facettes. Le travail du mangaka se déroule en atelier et est très prenant. L’histoire d’un manga se déroulant sur plusieurs tomes et les parutions étant rapprochées, il faut être très productif !
Au Japon, les mangas paraissent d’abord dans des magazines qui leur sont consacrés. Les séries y sont le plus souvent publiées par chapitres d’une vingtaine de pages. Lorsqu’un manga rencontre un certain succès, il est alors édité en volume relié et peut même par la suite être adapté en animé, en jeu vidéo…
Sources :
Numericle91
Wikipédia
Le sumérien est une langue morte qui était autrefois parlée dans l’Antiquité en Basse Mésopotamie. C’était la langue de Sumer aux IVe et IIIe millénaires av. J.-C, puis elle a progressivement laissé la place à l’akkadien et est tombée dans l’oubli jusqu’au XIXe siècle après J.-C. même si la plupart des habitants de l’époque étaient décrits comme bilingues sumérien-akkadien. Le sumérien est, avec le hatti et l’élamite, une des langues du Proche-Orient ancien que les linguistes ne parviennent pas à rattacher à une famille de langues connue : il est considéré comme un isolat linguistique.
Située au sud de l’Irak actuel, Sumer est une région de l’antique Mésopotamie. Cette région du Moyen-Orient, très ensoleillée et manquant de pluies, doit son nom au fait qu’elle est traversée par deux grands fleuves, le Tigre et l’Euphrate. Ils ont attiré très tôt de nombreuses communautés humaines et favorisé le développement de l’agriculture.
Grâce à l’écriture, les chefs des cités sumériennes transmettent plus facilement leurs ordres à leurs soldats et à leurs adjoints.
Personne ne peut faire mine d’ignorer ces ordres. L’autorité des chefs s’accroît et conduit à la naissance de véritables États avec une administration efficace et des sujets obéissants.
En 1855 Rawlinson a annoncé la découverte d’inscriptions non sémitiques sur les sites babyloniens au sud de Nippur, Larsa, Uruk. En 1850, cependant, Edward Hincks a soulevé l’hypothèse d’une origine non sémitique pour l’écriture cunéiforme. Les langues sémitiques sont structurées à partir des formes consonantiques. Par ailleurs, aucun mot sémitique ne pourrait être trouvé pour expliquer les valeurs syllabiques données à des signes particuliers. Jules Oppert a suggéré qu’une langue non sémitique avait précédé l’akkadien en Mésopotamie, et que les locuteurs de cette langue avaient développé l’écriture cunéiforme.
Sources :
Le Sumérien (Wikipédia)
L’Histoire commence à Sumer ( Herodote )
Le manuscrit de Voynich est un livre manuscrit et illustré anonyme, rédigé dans une écriture à ce jour non déchiffrée.
Le « Manuscrit Voynich », texte calligraphié de 234 pages daté entre 1404 et 1438, illustré de petites femmes dénudées, de constellations colorées, de diagrammes astrologiques, ou encore de végétaux et d’animaux…, défie les chercheurs et cryptographes depuis plus d’un siècle.
Malgré les nombreuses tentatives des cryptographes, la nature exacte de ce document, son but et son auteur restent une énigme : s’agit-il d’un herbier, d’un traité d’alchimie ou d’un canular ? Cette ambiguïté a contribué à en faire l’un des documents les plus célèbres de l’histoire de la cryptographie.
Le livre tire son nom de Wilfrid M. Voynich, qui l’a découvert en 1912 dans une communauté de jésuites à Frascati, près de Rome. La plus ancienne mention connue de ce manuscrit date de 1639, dans une lettre à Athanasius Kircher[a 1]. Depuis 1969, le manuscrit est conservé sous la cote MS 408 à la Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits de l’université Yale aux États-Unis.
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Liens pour en savoir plus :
National Geographic
Manuscrit de Voynich (Wikipedia)
Le Manuscrit Voynich enfin « craqué »? (Sciences et avenir)
Karl Friedrich Schinkel est le fils de Johann Christoph Schinkel et Dorothea Schinkel. À l’âge de six ans, Schinkel perd son père dans un incendie à Neuruppin.
En 1798, il quitte le lycée et part à Berlin où il devient l’élève et un ami intime de Friedrich Gilly et de son père David. En 1803, il entreprend son premier voyage en Italie.
À son retour à Berlin, la ville est occupée par les troupes de Napoléon. Il commence alors à travailler en tant que peintre. Après la défaite de la France, Schinkel est responsable du cabinet de construction prussien à partir de 1815. Sa fonction consiste à transformer Berlin en une capitale représentative de la Prusse et à mener à bien différents projets à travers tout le territoire prussien de la Rhénanie à l’ouest jusqu’à Kœnigsberg à l’est.
Le style de Schinkel dans sa période la plus productive est marqué par un retour à l’architecture grecque classique, peut-être une tentative de s’écarter du style romain des occupants français. Ses bâtiments les plus célèbres se trouvent à Berlin et dans ses alentours. Parmi ceux-ci, on peut noter à Berlin le Konzerthaus (1819–1821), sur la Gendarmenmarkt, qui remplace l’ancien théâtre détruit après un incendie et l’Altes Museum sur l’île aux Musées (1823–1830).
Certains pensent que les circonstances politiques (occupation française et dépendance vis-à-vis de rois prussiens parfois incapables) empêchèrent Schinkel de déployer tout son potentiel et le talent que ses schémas laissaient présager.
À côté de ses nombreux bâtiments, Schinkel réalisa aussi des œuvres en tant que peintre, créateur de décors théâtraux et architecte d’intérieur. Il officiait aussi en tant qu’expert (il fit plusieurs rapports pour la cathédrale de Cologne – le Kölner Dom – avec l’aide du roi Frédéric-Guillaume IV de Prusse qui finança ses projets). Par la suite Schinkel évolue vers un style néoromantique inspiré du Moyen Âge anglais et Peter Joseph Lenné, qu’il a connu en 1818, collabore avec lui pour la création de parcs romantiques autour de ses constructions. Il eut pour élève Friedrich Hitzig.
Karl Friedrich Schinkel est enterré au cimetière de Dorotheenstadt à Berlin.
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Sources :
Wikipedia
Seatle opera blog
Les archéologues trouvent un temple époustouflant creusé dans une montagne !
Sa technologie demeure encore un mystère …
Fait intéressant, le Kailasa n’est que l’un des 34 monastères et temples à s’étendre sur une superficie de 2 kilomètres.
Ces grottes ont été creusées dans le mur d’une haute falaise de basalte des collines de Sahyadari, à Ellora.
Ce temple lui-même a été construit à partir d’un seul rocher à 50 mètres de profondeur (33.2 mètres en largeur et 30 mètres en hauteur), ce qui en fait l’une des plus grandes structures monolithiques de la planète, entièrement creusée dans la roche.
Le temple a été sculpté quasiment à la perfection. Il est parfaitement orienté Ouest, comporte des escaliers et des balcons complexes.
Et il a été construit à une époque où les humains avaient une connaissance limitée des mathématiques et de l’architecture.
Une merveille architecturale !
Sources : Ancient Code; https://aspundir.blogspot.mk/2013/11/kailashnath-temple-ellora-caves.html; www.lifecoachcode.com, www.youtube.com
Esprit Spiritualité Métaphysiques
La Sagrada Família
Temple Expiatori de la Sagrada Família de son nom complet en catalan, ou Templo Expiatorio de la Sagrada Familia en espagnol est une basilique de Barcelone dont la construction a commencé en 1882.
C’est l’un des exemples les plus connus du modernisme catalan et un monument emblématique de la ville de Barcelone.
Adresse : Carrer de Mallorca, 401, 08013 Barcelona, Espagne